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Le raisin est une culture d’endroit. Il s’agit que la Tauride a le meilleur vignoble en Ukraine. Il y a beaucoup du soleil et du sol fertile.

Le fermier de la ville Olechky Albert Fedotov cultive la vigne dans une serre. Il collecte diverses variétés de vigne et il pense que la viticulture est sa vocation. Cette affaire a déjà été engagée par son père, et à la viticulture Albert est finalement venu lui-même. Il se soucie et essaie de développer cette affaire. C’est ce qu’il vit.

Albert pratique la viticulture depuis près de 10 ans. Auparavant, il travaillait dans le domaine du commerce et était directeur commercial de la société. Mais même à cette époque, il avait récolté diverses variétés de raisin et l’avait cultivé pour un usage domestique. Maintenant, il a complètement consacré au travail de rêve.

— Un personne toujour veux être libre. Il faut fait ce qu’il aime. Et aller au travaille comme célébré une fête.

Albert se souvient que son père avait cultivé jusqu’à 70 variétés de vigne, ce qui, à l’époque soviétique, était considéré comme une collection massive.

Albert a maintenant plus de 100 variétés dans sa collection. Chaque année, le vignoble ajoute des dizaines de nouvelles espèces qui ne rentrent pas toujours dans la serre. C’est pourquoi, un homme injecte de nouvelles variétés dans de vieux arbustes. Albert soutient qu’il est possible de cultiver les meilleurs raisins de cette manière.

Albert a la plus grande variété de raisin qui s’appelle “Trinité de Krainov”, avec de grandes baies roses oblongues en grappes. Il dit que, dans le monde, il est aussi appelé “Transfiguration”, “Anniversaire de Novotcherkask” et “Victor”.

D’année en année, de nombreux nouveaux cépages sont cultivés selon la méthode de sélection. Les viticulteurs et les scientifiques créent les meilleurs échantillons de plantes, dans lesquels les grappes sont plus massives et les baies plus grosses. La science qui étudie la vigne s’appelle l’ampélographie.

Albert lui-même n’a pas encore produit ses propres cépages. Il dit qu’elle ne planifie pas, car c’est un travail complètement différent et qu’il n’aime pas.

Dans les serres de l’Albert, il y a environ 800 arbustes de la vigne. En outre, la vigne pousse sur la basse-cour aussi.

D’habitude, à la mi-juillet, Albert collect déjà la première récolte de serres. Le raisin à l’air est mûr à la fin de juillet ou au début de août.

Bien que les plantes poussent dans la serre, ils donnent le raisin une fois par an. Seules certaines variétés produisent des fruits deux fois par an. Ce phénomène s’appelle chez les viticulteurs “la récolte de lichen”. Albert explique que les petites rejets supplémentaires poussent sur la vigne, qui forment ensuite des grappes. Ils sont bien mûres plus tard dans un mois et demi, mais, comme le viticulteur dit, ils “extraient l’énergie” de la plante. C’est la raison pour laquelle il coupe les rejets habituellement afin que la première récolte devient la meilleure qualité.

Les rejets coupent plusieurs fois au printemps. Tout d’abord, ceux qui poussent d’en bas. Albert dit que d’un bourgeon pousse deux ou trois pousses. Parmi ceux-ci, il ne faut en laisser qu’un, le plus fort. Au printemps, le vignoble décide enfin quelles rejets restent. De cette façon, les arbustes “éclaircis”. C’est une affaire responsable, que chaque propriétaire préfère faire lui-mêmes.

— Certains crient: “Qu’est-ce que tu fais?! C’est la récolte!” Mais je dit s’il y en a beaucoup, il n’y avait pas de récolte bonne. Ce sera tout petit! Je ne peux pas donner mon “bébé” aux mains de quelqu’un d’autre, ce qui me dérange ici. Cette année-là, j’ai eu une petite récolte, alors je me suis débrouillé sans aucune aide. Si cela devait être collecté! Si cela devait être collecté!

Dans ce cas, le viticulteur est aidé parfois par son fils. Cependant, il a aussi son propre travail et sa propre formation. Par conséquent, il ne peut pas toujours aider son père.

Surtout, Albert est heureux lorsqu’il collecte la récolte. Un jeune arbuste peut donner de 10 à 50 kg de raisins. Cela dépend des conditions dans lesquelles la plante pousse. Pour tirer profit de la viticulture, si vous n’avez pas une grande superficie, vous avez besoin d’une serre.

Une serre

En serre, le viticulteur cultive des rejets pendant près de 3 ans. Avec cela, Albert a décidé de poursuivre les avantages économiques. Il dit, si les raisins atteignent plus rapidement, le prix de tels produits sera plus élevé. De plus, il est plus facile de prendre soin des plantes dans la pièce.

— Dans les serres des baies et des grappes sont parfaites. Pas de pluie, pas de vent, pas d’oiseau, pas d’insecte et beaucoup moins de maladie.

Cependant, Albert explique qu’aujourd’hui, sans produits chimiques, il n’est pas possible. Le viticulteur essaie d’utiliser des bio préparations, des bactéries spéciales et les dernières technologies permettant au niveau moléculaire d’améliorer le sol.

Albert dit qu’il avait autrefois voulu cultiver du raisin sur un “terrain découvert”. Mais il a compté que la superficie est petite. C’est pourquoi Albert a décidé de construire une serre.

— Il existe un tel avis que les serres ont été définies et que vous pouvez vous allonger sur le canapé et attendre que les grappes apparaissent. Non! Il y a beaucoup plus de travail, car les vignes se réveillent plus tôt et attrapent toutes les gelées.

En hiver, la différence entre la température de l’air extérieur et la serre est faible – 1 à 2 ° C. Et pour chauffer une pièce en hauteur de 4,5 m – c’est très cher!

Pour que les plantes ne gèlent pas en hiver, Albert réchauffe la pièce avec un film spécial. Il dit que cette méthode peut augmenter la température d’environ deux degrés.

Les serres sont été construit telles hautes pour que les plantes se sentent à l’aise en été. Grâce au plafond haut, les rayons du soleil ne brûlent pas les rejets supérieures, qui atteignent 2,5 m de hauteur. Une longueur supplémentaire protège la plante de l’air chaud.

Albert explique que chaque étape du développement du raisin nécessite des conditions climatiques spécifiques. Pour contrôler l’humidité et la température de l’air à différentes saisons, le vignoble utilise un thermomètre numérique.

Un homme dit que la viticulture nécessite beaucoup d’attention, de force et de temps. Surtout, le viticulteur affirme, il manque de temps.

— Lorsque vous travaillez sur cette plante, vous ne pouvez pas crier, vous ne pouvez pas jurer, vous ne pouvez pas faire quelque chose à la hâte, vous ne pouvez pas l’oublier. Alors voici un jour – tu es mouillé. Tu as dormi, tu n’avais pas le temps et tout – et l’année de ton travail a disparu. Par conséquent, il n’y a pas de temps de dire: “Je le ferai demain”. S’il faut faire aujourd’hui, il doit faire aujourd’hui!

Albert explique pour la viticulture devienne rentable, il faut travailler trois ou quatre ans. Afin d’investir de l’argent dans une affaire préféré, le viticulteur a vendu sa voiture.

La famille d’Albert le soutien et l’aide à progresser dans ses affaires. Un homme admet que leur soutien est très important car “c’est la chose principale”.

Potentiellement Albert planifie d’élargir son vignoble. Il dit que si vous cultivez des plantes dans une serre – c’est beaucoup plus difficile à faire. Après tout, le matériau à partir duquel de telles serres de fruits sont construites nécessite un matériau spécifique. En outre, des fonds sont nécessaires pour l’irrigation au goutte-à-goutte, la chimie des engrais, etc.

Cette année, Albert commence à travailler dans une autre serre. Déjà, il y avait plusieurs variétés de raisins: “De la mémoire de l’enseignant”, “Veliz” et d’autres.

Cette maladie est le raisin

Étant donné que dans les serres les raisins atteignent plus tôt que d’habitude, le prix est approprié. Albert explique que dans de telles conditions, le meilleur est le commerce de gros. Après tout, un tel prix au détail, beaucoup de locaux ne peuvent pas se permettre.

La Tauride est une terre fertile, il est donc facile d’ajuster les relations de marché. Albert dit qu’il existe un certain nombre de marchés de gros avec lesquels vous pouvez toujours collaborer.

Le raisin de la Tauride sont généralement emporté à Kyiv, à Dnipro et dans d’autres grandes villes d’Ukraine. Albert ne vend pas encore ses raisins à l’étranger. Il dit que cela nécessite de grosses quantités de production. Un homme envisage de coopérer avec d’autres viticulteurs. Il dit que l’union fait la vente de produits plus facile.

Albert explique qu’à l’époque soviétique, la viticulture était en déclin. Lorsque Mykhaylo Horbatchov a introduit une “loi sèche”, les vignobles ont commencé à être coupés. L’industrie a encore chuté dans les années 1990 et 2000. Ce n’était pas le bon temps pour les raisins, les raisins secs et le vin. Maintenant, selon Albert, cette industrie est en train de renaître.

Albert dit que maintenant beaucoup de raisins poussent dans la région. Très peu d’entre eux sont des professionnels, la plupart d’entre eux cultivent du raisin pour les ménages. Si pas à la maison à l’arrière, puis sur les parcelles de ménage à la datcha.

Un homme admet que lorsqu’il a commencé à cultiver du raisin, il n’avait même pas deviné le nombre de personnes qui y travaillaient. Il tente maintenant d’adopter des méthodes de ses collègues.

— Et chaque année quelque chose de nouveau, quelque chose de nouveau s’ensuit. Ce n’est pas fait – ouais! Maintenant je sais comment le faire correctement. Eh bien, j’ai écrit: “Amis, gars, collègues, que fait-il?” Les gens, les viticulteurs, ils sont sincères dans l’aide, sincères dans l’information, dans l’expérience. Alors, on aide les uns les autres.

Albert dit que les viticulteurs communiquent entre eux. Il a des collègues et des amis pas seulement en Ukraine mais aussi à l’étranger. Albert explique qu’ils communiquent via les réseaux sociaux aussi. Il est facile d’apprendre sur les autres. Albert rigole que le joueur reconnaît le joueur.

— On s’appelle et nous appelle, les viticulteurs, les malades. Oui, c’est ça. Mais cette maladie – est le raisin. Si vous tombez malade, alors tout l’argent va à nouvelles variétés. Si vous saviez combien ça coûte! Mon épouse ne sait pas! Tout le temps, toutes les forces.

Albert a déclaré qu’il avait pris l’expérience de Mykhaylo Pavlivskyi, l’un des premiers viticulteurs, qui, dans la région de Kherson, a commencé à cultiver du raisin dans la serre. Aujourd’hui, Mykhaylo est une immense ferme située au bord du réservoir de Kakhovka, où un homme cultive plus de 150 variétés de raisins. Pour atteindre ce niveau, Mykhaylo a beaucoup voyagé et repris l’expérience d’autres viticulteurs.

Albert cultive également les jeune arbres à la vente. Parce que la vigne reste, mais il ne veut pas jeter les jeune arbres inutiles. Cependant, le bénéfice est petit.

En outre, un homme fait du vin pour lui-même. Il a une collection séparée de cépages qui poussent dans une petite plantation.

Albert considère la viticulture comme une affaire de prédilection. Cela lui apporte du plaisir et des revenus. Un homme nous dit qu’il voulait cultiver du raisin toute sa vie, car à la Tauride, toutes les conditions sont réunies pour cela.

— Parce que le raisin est une culture de lieu. Cela varie d’un vignoble à l’autre, l’un est bon et l’autre absolument différent. C’est pourquoi vous devez d’abord le planter et le voir vous-même. C’est la seule façon. Pour cette raison, un viticulteur doit passer en revue chaque variété qu’il souhaite planter à sa manière.

— Eh bien, vous devez faire quelque chose que moins de gens font. Et je connais l’expression qui dit que vous devez suivre le chemin le plus dur. Et vous pouvez gagner là encore plus qu’un simple revenu. Encore une fois je dis: “J’adore le raisin!”.

Le dossier est préparé par

Fondateur d'Ukraїner:

Bogdan Logvynenko

Autrice du texte:

Yana Konyk

Rédactrice du texte:

Yevheniia Sapozhnykova

Correcteur d'épreuves:

Mariia Prokhorenko

Productrice du projet:

Olha Schor

Photographe:

Alina Kondratenko

Opérateur caméra:

Oleksandr Sloboda

Opérateur caméra,

Ingénieur du son:

Pavlo Pachko

Monteuse:

Mariia Terebous

Scénariste:

Karina Piliugina

Réalisateur:

Mykola Nosok

Éditeur d'images:

Oleksandr Khomenko

Transcripteuse audio:

Polina Bondaruk

Traductrice:

Olga Gavrylyuk

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